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Conseils pour rester en forme pendant et après le repas de Noël.

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Photo Pixabay - PublicDomainPictures

Certes, les réveillons ne sont pas la meilleure période pour penser diététique ! Mais on peut vouloir rester en forme tout en festoyant : ne pas cumuler les plats lourds dont on met des jours à se remettre, en les alternant avec des plats légers ; alléger les recettes qui peuvent l’être ; optimiser la qualité des matières grasses en privilégiant les formes « insaturées » protectrices pour l’organisme par rapport aux « saturées » aux effets opposés.

Panorama des plats, grands classiques des réveillons

Les plus légers 

Huîtres et fruits de mer

Ils apportent peu de calories. De plus, ils regorgent d’excellents minéraux, vitamines, oméga 3 ; le temps mis à les manger concourt déjà au contrôle de la prise alimentaire. Comment les accompagner ? Optez pour une mayonnaise à l’huile de colza pour les crustacés, par exemple avec piment, safran (cuisine AZ), ou safran seul (les foodies) plutôt qu’une sauce à la crème plus lourde. Pour les huîtres, choisissez comme pain d’accompagnement du pain de seigle, aux graines ou aux céréales, qui régulent aussi mieux l’appétit que le pain blanc. On y ajoutera  éventuellement une fine couche de beurre.

Photo Pixabay – macayran

Une salade de crudités.

Elle peut accompagner le plat principal, avec une vinaigrette à l’huile d’olive ou de colza.

Une salade de fruits

Elle évitera de se resservir d’une part de bûche. Des fruits naturellement riches en sucres, comme la banane et le raisin, éviteront d’en rajouter.

Les sorbets

Ils sont rafraîchissants et légers.

photo Pixabay – RitaE

Ceux que l’on peut moduler :

La farce de la dinde de Noël

Une farce aux légumes, pomme de terre ou aux fruits, comme avec ces recettes de dinde farcie aux fruits d’hiver  (Papilles et Pupilles) ou aux pommes de terre (750 g), aux légumes oubliés (750 g), sont plutôt légères. Au contraire, des recettes réalisées avec une quantité élevée de beurre ou crème fraîche, de chair à saucisse sont plus lourdes.

L’accompagnement de la dinde ou de la viande

Ici aussi, les recettes qui privilégient les huiles, notamment d’olive, aux dépens encore une fois du beurre et de la crème (gratins..), aboutissent à des plats plus digestes. En voici quelques exemples : des frites de potimarron et patates douces, des patates douces et pommes de terre rôties au four, des carottes au jus d’orange, miel et gingembre, des légumes d’automne façon Jamie Oliver (toutes de Papilles et Pupilles) ou même une salade de crudités.

Photo Pixabay – Candace Towner

Ceux qui sont riches en énergie, à prendre tels quels 

Pour ne pas alourdir un repas copieux, il reste à limiter les portions.

Le foie gras.

Par exemple une part de 30 à 40 g, à servir avec des toasts (pain de seigle, complet ou aux céréales), une confiture d’oignons ou autres.

Photo Pixabay – carivena

Le saumon

Il est relativement riche en énergie et en matières grasses, mais de bonne qualité (insaturées, avec des oméga 3).

La bûche de Noël

Peu de recettes proposent des bûches légères, comme cette version (cuisine AZ) au fromage blanc 0%, et avec de la gélatine . Qu’elles soient aux fruits ou au chocolat, elles sont généralement proposées avec du beurre ou de la crème. Ici aussi, on pourra limiter les portions, avec une salade de fruits en complément.

Et au cours du repas…

N’hésitez pas à voire abondamment de l’eau (gazeuse, plus festive) qui peut aider dans l’immédiat à limiter les quantités en remplissant l’estomac.

Photo Pixabay – mopsus

Passez de très belles fêtes !

Décembre 2019 © Viviane de La Guéronnière

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